Cinq délibérations étaient inscrites à l’ordre du jour de ce conseil du 15 décembre qui s’est déroulé devant un public très réduit. L’instauration de la journée de solidarité pour l’autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées fixée le jour de Pentecôte après consultation des agents concernés. L’attribution d’une indemnité de 406 € en faveur du receveur municipal. Deux décisions modificatives pour permettre des virements entre des comptes du budget (sans incidence sur le budget global lui-même) et enfin la signature d’une convention entre la communauté de communes et la commune pour la mise à disposition de personnel communal pour un montant de 590 € afin de réaliser les travaux de la plateforme de tri de la Croix de Chorres. La séance close le maire accepta de répondre aux questions du public : Où en est l’attribution des 3 logements sociaux du château ? Réponse du maire, les demandes déjà nombreuses seront enregistrées jusqu’au 20 décembre, le choix de la commission sera effectué en janvier. Pour les bureaux disponibles dans la maison Sole en cours de rénovation , il y a peu de candidats déclarés jusqu’alors les offres peuvent toujours être transmises en mairie. Sur l’affaissement de la chaussée à l’entrée du bourg Patrick Michallet responsable des travaux a indiqué que la communauté de commune, responsable de ces travaux avait engagé une procédure auprès du bureau d’étude maître d’œuvre et de l’entreprise qui a réalisé les travaux afin de trouver une solution au problème. Enfin petite note optimiste un des habitant présent a tenu à souligner la qualité et l’efficacité du déneigement réalisé ces derniers jours par les cantonniers. Les louanges ne sont pas si fréquentes (sic) elles sont donc les bienvenues pour un conseil et des employés plus souvent habitués aux reproches. Philppe Faucheux
mardi 16 décembre 2008
dimanche 14 décembre 2008
Histoires d'eau au conseil du 26 Novembre
Le conseil de ce Mercredi 26 Novembre avait à se prononcer ce soir sur une demande de subvention auprès du conseil général pour financer des travaux en vue de la protection des réservoirs de la commune dont elle reste propriétaire. Or de la protection des réservoirs dépend la qualité de l’eau qui y est stockée. La commune possède 5 réservoirs de 300 m3 desservant les hameaux de la Méarie, de la Jars, de la Frette et de Monquaix et de la Croix de Chorres. Il est donc envisagé la mise en place d’une clôture autour de chacun des réservoirs, outre le Conseil Général l’agence de l’eau sera sollicitée pour le financement le solde étant couvert par les fonds propres de la commune.
Trois autres points ont été abordés : deux virements de crédit de 19 769 € sur le budget du personnel à partir de la ligne dépense imprévue qui justement est faite pour cela et une opération d’ordre entre le budget fonctionnement et le budget investissement. Le martelage des coupes affouagères pour les années 2008/2009 sur les secteurs de Sallanches et du Néron et la détermination de la taxe d’affouage à hauteur de 48 €.
Trois autres points ont été abordés : deux virements de crédit de 19 769 € sur le budget du personnel à partir de la ligne dépense imprévue qui justement est faite pour cela et une opération d’ordre entre le budget fonctionnement et le budget investissement. Le martelage des coupes affouagères pour les années 2008/2009 sur les secteurs de Sallanches et du Néron et la détermination de la taxe d’affouage à hauteur de 48 €.
Renaissance d'un sentier vers la raviole
Mission accomplie, le chemin communal reliant la route de la Méarie à la crête de la Raviole est de nouveau praticable. Une demi douzaine de valeureux Queylard a eu raison des broussailles qui au fil des années ont bouché cet itinéraire. Le chemin monte droit dans la forêt sur la parcelle communale du Maupas, son tracé est exigeant surtout dans la deuxième partie sous les crêtes de la Raviole, au total un peu moins de 200 m de dénivelé qui nécessitent d’être bien chaussé et vigilant. Il est possible de faire une boucle en redescendant par le chemin des gardes que l’on prend un peu plus haut sur la crête (caïrn).
Conseil municipal du 12 Novembre dernier
Ce Mercredi 12 Novembre le public était peu nombreux pour assister à ce 4 èm conseil municipal depuis le début du mandat. Un seul point soumis au vote : l’adoption d’une délibération autorisant le Maire à contracter un emprunt auprès du Crédit Foncier pour financer les travaux des 3 logements sociaux du château (voir photo). Le montant total de l’opération s’élève à 528 258 € financés par différentes subventions (Conseil Général, Région, CCBSC) à hauteur de 127 293 € (24.10 %), 87 000€ (16,47 %) de fonds propres et donc 313 965 € (59,43 %) d’emprunt sur 31 ans au taux de 5,13 % indexé sur le taux du livret A.
Des logements livrés au printemps et qui attirent dores et déjà la convoitise des Queylards puisque plusieurs demandes sont déjà parvenues en mairie. Cette construction a reçu deux distinctions lors de la biennale du développement durable de Grenoble dont le prix du public.
Après avoir clôturé cette brève séance le Maire a donné la parole à l’assistance.
Deux nouvelles salles associatives
Un représentant de la communauté chrétienne s’est étonné du délai d’une semaine nécessaire pour obtenir la mise à disposition d’une salle associative, délai peu compatible avec la survenance de certains évènements par nature imprévisibles. Le Maire s’est montré rassurant en expliquant que les deux salles associatives réhabilitées au rdc de la cure continueraient à être utilisées par la communauté chrétienne pour ses activités mais sans exclusive, elles pourront également être prêtée aux associations pour des réunions ou autres évènements . A cette occasion il a rappelé le montant des travaux (96 200 € ) financés par la commune ( en attente d’une subvention du Conseil Général) et la récente livraison des deux logements à l’étage (50 m2 et 37,50 m2).
15 m2/mois le jardin Etonnement aussi sur le prix de location de chacun des jardins que certains trouvent exorbitant, ce qui permet au Maire de rappeler que c’est la loi qui oblige de dissocier la location du jardin de celle du logement et que ce prix comprends d’autres prestations et notamment l’eau d’arrosage. Enfin, et comme à l’accoutumée, différentes remarques ont été faites sur des questions d’entretien du patrimoine communal et le Maire a remercié et encouragé les habitants à jouer leur rôle d’alerte, les conseillers ne pouvant pas avoir l’œil sur tout.
Des logements livrés au printemps et qui attirent dores et déjà la convoitise des Queylards puisque plusieurs demandes sont déjà parvenues en mairie. Cette construction a reçu deux distinctions lors de la biennale du développement durable de Grenoble dont le prix du public.
Après avoir clôturé cette brève séance le Maire a donné la parole à l’assistance.
Deux nouvelles salles associatives
Un représentant de la communauté chrétienne s’est étonné du délai d’une semaine nécessaire pour obtenir la mise à disposition d’une salle associative, délai peu compatible avec la survenance de certains évènements par nature imprévisibles. Le Maire s’est montré rassurant en expliquant que les deux salles associatives réhabilitées au rdc de la cure continueraient à être utilisées par la communauté chrétienne pour ses activités mais sans exclusive, elles pourront également être prêtée aux associations pour des réunions ou autres évènements . A cette occasion il a rappelé le montant des travaux (96 200 € ) financés par la commune ( en attente d’une subvention du Conseil Général) et la récente livraison des deux logements à l’étage (50 m2 et 37,50 m2).
15 m2/mois le jardin Etonnement aussi sur le prix de location de chacun des jardins que certains trouvent exorbitant, ce qui permet au Maire de rappeler que c’est la loi qui oblige de dissocier la location du jardin de celle du logement et que ce prix comprends d’autres prestations et notamment l’eau d’arrosage. Enfin, et comme à l’accoutumée, différentes remarques ont été faites sur des questions d’entretien du patrimoine communal et le Maire a remercié et encouragé les habitants à jouer leur rôle d’alerte, les conseillers ne pouvant pas avoir l’œil sur tout.
Un couple anglo-américain séduit par la Chartreuse
Ils sont arrivés tous les deux, mais séparément, à Grenoble en 1994. Lui originaire de Washington DC avait envie de voir du pays, il a profité d’une opportunité professionnelle offerte par son entreprise, Sun Microsystems, alors installée à Meylan. Aujourd’hui Michaël exerce à son compte comme consultant informatique. Pénélope, d’origine anglaise, a vécu une partie de son enfance à Nîmes et reste très attachée à la France. Après avoir hésité entre Lyon et Grenoble, elle trouve du travail dans la capitale des Alpes. En 1997 ils cherchent à acheter sur les hauteurs de la ville. Le Vercors paraît trop éloigné, Belledonne trop fréquentée, surtout le week-end, le sud de la Chartreuse s’impose vite comme le lieu idéal. A 12 km de Grenoble, sur les contreforts de Chamechaude et de la Pinéa ils découvrent leur coin de paradis et réalisent en grande partie l’aménagement d’une ancienne résidence secondaire, à l’origine dénuée de confort.
Le réseau associatif vecteur de lien social
A Quaix c’est le réseau associatif qui leur procure des occasions de rencontres, Mikaël est frappé par l’importance de la vie sociale au sein du village comparée à celle qu’il a connue dans la capitale des Etats-Unis. Pourtant Antonia leur fille âgée de 7 ans ne va pas à l’école, c’est sa mère qui se charge de son instruction. Pénélope souhaite que leur fille reste parfaitement bilingue, par ailleurs les voyages vers leurs familles ne sont pas très compatibles avec le calendrier scolaire. « Chaque année, dit Pénélope, je demande à Antonia si elle veut aller à l’école du village, pour le moment elle n’a pas fait ce choix ».
La nourriture saine, le fromage et le vin viennent en tête des attraits de la vie Française, mais aussi très vite le climat varié, la proximité des montagnes et toutes les activités qu’elles permettent dès le seuil de la maison. Pour Pénélope l’attachement à la culture Française a aussi son importance dans le choix de s’installer définitivement dans notre pays.
Acquérir la nationalité française
Bientôt Mickaël et Pénélope vont demander la nationalité française, pour Mickaël cela correspond à la volonté de pouvoir donner son avis à travers le vote et ainsi participer pleinement à la vie citoyenne. De là à envisager d’être élus un jour, ni l’un ni l’autre ne s’est posé la question, il faudrait pour cela qu’ils sachent mieux ce que cela impose comme engagement. De son côté Antonia héritera de la triple nationalité (américaine, anglaise et française) et quand on lui demande si elle se sent plus Française ou plus Anglaise elle répond : « un peu les deux ».
Le réseau associatif vecteur de lien social
A Quaix c’est le réseau associatif qui leur procure des occasions de rencontres, Mikaël est frappé par l’importance de la vie sociale au sein du village comparée à celle qu’il a connue dans la capitale des Etats-Unis. Pourtant Antonia leur fille âgée de 7 ans ne va pas à l’école, c’est sa mère qui se charge de son instruction. Pénélope souhaite que leur fille reste parfaitement bilingue, par ailleurs les voyages vers leurs familles ne sont pas très compatibles avec le calendrier scolaire. « Chaque année, dit Pénélope, je demande à Antonia si elle veut aller à l’école du village, pour le moment elle n’a pas fait ce choix ».
La nourriture saine, le fromage et le vin viennent en tête des attraits de la vie Française, mais aussi très vite le climat varié, la proximité des montagnes et toutes les activités qu’elles permettent dès le seuil de la maison. Pour Pénélope l’attachement à la culture Française a aussi son importance dans le choix de s’installer définitivement dans notre pays.
Acquérir la nationalité française
Bientôt Mickaël et Pénélope vont demander la nationalité française, pour Mickaël cela correspond à la volonté de pouvoir donner son avis à travers le vote et ainsi participer pleinement à la vie citoyenne. De là à envisager d’être élus un jour, ni l’un ni l’autre ne s’est posé la question, il faudrait pour cela qu’ils sachent mieux ce que cela impose comme engagement. De son côté Antonia héritera de la triple nationalité (américaine, anglaise et française) et quand on lui demande si elle se sent plus Française ou plus Anglaise elle répond : « un peu les deux ».
Frédéric Durmort -Artisan tapissier
Frédéric Durmort artisan tapissier a installé son atelier à Quaix au centre village il y a deux ans. Amoureux et défenseur du bel ouvrage il restaure fauteuil, bergère ou canapé selon les techniques anciennes et uniquement avec des matériaux traditionnels. Le chanvre et le crin (de noix de coco ou de bovins) pour le rembourrage, le lin, la jute ou le coton pour le garnissage et bien sûr les plus beaux tissus ou le cuir pour le parement. Jusqu’à 40 interventions (hors ébénisterie !) sont nécessaires pour redonner au siège son lustre d’antan. Frédéric Durmort parle avec passion de son art, il travaille à l’ancienne dans le souci que ces interventions soient durables et réversibles dans le temps. Mais avant d’entreprendre une restauration il accompagne et conseille le client, si celui-ci est attaché à la valeur symbolique de l’objet ou s’il est plutôt préoccupé par l’aspect fonctionnel, le choix du tissu et de la finition ne seront pas les mêmes . Si vous venez lui rendre visite à Quaix il vous fera admirer les superbes étoffes de la manufacture Prelle installée sur les pentes de la Croix Rousse à Lyon depuis 1752. Pour connaître les différentes étapes de la restauration d’un siège ancien des visites commentées sont organisées durant tout le WE à 14, 16 et 18 h il est prudent d’annoncer votre visite en téléphonant au 04 76 47 11 25 vous pouvez aussi consulter le site www.amosiris.com.
Inscription à :
Articles (Atom)